« La maladie la plus constante et la plus mortelle, mais aussi la plus méconnue de toute société, est l’indifférence. »
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Abbé Pierre
Faim et soif, novembre 1961 |
Abbé Pierre
Faim et soif, novembre 1961
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« On peut dire schématiquement que le monde ne dort plus. ; l’une de ses moitiés tenue éveillée par la faim, et l’autre par la peur des affamés. »
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Abbé Pierre
Faim et soif, avril 1963 |
Abbé Pierre
Faim et soif, avril 1963
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« On ne donne pas ce qu’on possède, on ne possède que ce qu’on est capable de donner ; sinon, on est possédé. »
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Abbé Pierre
Notes personnelles, 1968 |
Abbé Pierre
Notes personnelles, 1968
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