« Peut-être qu'il y a des blessures d'enfance qui n'ont pas pu être vécues à fond, et qui pour cette raison demeurent. »
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Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose |
Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose
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« (p. 65) Pour moi, la prière, c’est se présenter nu à Dieu, sans attentes. On considère souvent la prière comme une demande. (…) Mais depuis que j’ai lu le Soûtra du Diamant, il m’apparait que la prière n’est pas la prière, c’est pourquoi je l’appelle la prière. La prière, ce n’est pas: « Donne-moi ça ». Parce que, quand on dit: « Donne-moi ça », on se coupe de tout, on se fixe, on se borne à un résultat. Si Dieu existe, il ne va pas donner une réponse clé en main à notre prière. (…) Etre sans attente. Se laisser ouvrir... »
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Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose |
Alexandre Jollien
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« Nous vivons en société. Nous vivons grâce à l'autre, grâce aux rencontres. Sans les rencontres qui m'ont fait et défait, je ne serais plus de ce monde. Rencontrer l'autre c'est se reposer un peu de soi. La plus grande souffrance est celle qui nous replis sur nous mêmes. Celle qui nous referme sur notre petit moi. Et ça finit par sentir le renfermé là-dedans! rencontrer l'autre c'est sortir des rôles que nous jouons. »
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Alexandre Jollien
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Alexandre Jollien
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