« Demandons-nous donc ce qui est au centre de notre vie. Est-ce nos problèmes, nos complexes, nos jeux sociaux ? Est-ce l'autre ? Quel est le centre de ma vie ? Qu'est-ce qui donne la direction de mon existence ? Assurément, le rire empêche de se fixer. Commençons d'abord par rire de nous-mêmes, car il y a de quoi faire. L'ennui n'a pas ou peu sa place. Dès que l'on commence à rire de soi, tout devient exercice. Je peux même rire de mon obstination. Loin de la moquerie, le rire peut devenir un instrument de vie qui déracine toute fixation narcissique et nous aide à avancer. »
|
Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose |
Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose
|
« Quand on commence à considérer la vie comme un dû et non comme un cadeau, quand on dit : "C'est cela, ma place au soleil", on se prépare à beaucoup de souffrances. Car une chose est certaine : au terme de la vie, nous perdrons tout. Alors autant tout lui donner. Autant considérer la santé des enfants, notre propre santé, nos amis, comme des cadeaux immenses et non comme un dû. En somme, la gratitude, c'est revisiter tout ce que l'on reçoit avec une liberté nouvelle et en profiter encore plus, sans s'accrocher, sans s'agripper. »
|
Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose |
Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose
|
« Le "Ce n'est pas compliqué" m'aide à revenir à l'instant présent, à trouver la réponse adéquate à ce que dictent les circonstances. »
|
Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose |
Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose
|