« S’il faut une retenue, je pense cependant que la convention sociale qui la dicte provient avant tout d’une peur, d’un malaise face au corps, face à l’autre. »
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Alexandre Jollien
Éloge de la faiblesse |
Alexandre Jollien
Éloge de la faiblesse
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« Le désir peut donc devenir un instrument pour revenir au réel. Désirer le mieux. Il ne s’agit pas de tomber dans le fatalisme et de dire : « Je ne fais plus rien », « Je ne désire plus rien », « Je mets tout ça sous vide », mais de faire du désir un instrument de liberté. Je désire, parmi tout le fatras passionnel qui est en moi, un peu plus de liberté et j’avance, mû par ce désir. »
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Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose |
Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose
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« Il y a l'urgent et l'accessoire.Progresser,améliorer notre état de santé,c'était l'urgent.Il fallait s'y employer à chaque instant. Chez nous, pas de "demain",ni de "plus tard".L'avenir se limitait aux week-ends;nous rentrions alors chez nous pour retrouver nos parents.Pour moi c'était une joie de vivre deux jours par semaine avec maman,papa et mon frère Franck. »
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Alexandre Jollien
Éloge de la faiblesse |
Alexandre Jollien
Éloge de la faiblesse
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