« Je pense que la souffrance, la tristesse ont leur place en nous. Elles durent peut-être précisément parce que l'on n'ose pas les vivre à fond. Ce qui me frappe en observant les enfants, c'est que lorsqu'ils pleurent, ils pleurent à fond, et leur tristesse s'en va. Peut-être qu'il y a des blessures d'enfance qui n'ont pas pu être vécues à fond, et qui pour cette raison demeurent. p.17 »
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Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose |
Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose
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« J'aime cette idée que le calme advient quand on a cessé toute lutte et toute tentative d'aplanir ce qui ne peut l'être. »
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Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose |
Alexandre Jollien
Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose
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« Pour moi, être sage exige de connaître, de "faire avec " ses possibilités et ses faiblesses, de gérer sa réalité. »
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Alexandre Jollien
Éloge de la faiblesse |
Alexandre Jollien
Éloge de la faiblesse
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