« Qui que nous soyons, je crois qu'à notre naissance, nous sommes dix fois plus intelligents qu'à l'âge où nous croyons l'être, à vingt ans... Nous avons tous en nous l'intelligence, après, elle se distribue sur de multiples désirs, intérêts. Enfin, c'est comme une partie d'échecs, tout est possible au départ, et puis en cours de partie, il n'y a déjà plus beaucoup de pions : faut vraiment veiller au grain pour qu'on aille un peu plus loin et gagner la partie, surtout si l'adversaire en face est malin. »
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Françoise Dolto
La difficulté de vivre |
Françoise Dolto
La difficulté de vivre
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« La maison représente allégoriquement la sécurité de l'enfant, à la fois dans son corps et dans les possibilités de relation de ce corps avec le monde, au sens large du terme. »
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Françoise Dolto
L'échec scolaire |
Françoise Dolto
L'échec scolaire
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« C'est important pour les très jeunes lecteurs. Si le personnage auquel il s'est identifié meurt ou connaît le supplice éternel, l'enfant qui lui doit continuer à vivre, peut être tenté d'abandonner la lutte. Le happy-end est nécessaire pour l'encourager à l'effort, à la combativité. Je pense que le happy-end des contes de fées donne à l'enfant l'image d'épreuves qui, évidemment, sont loin de sa réalité, mais qui lui permettent momentanément de s'identifier à des héros qui traversent des passes difficiles et qui arriveront tout de même à triompher des obstacles. »
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Françoise Dolto
La cause des enfants |
Françoise Dolto
La cause des enfants
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