« Javolenus et Livia pénètrent dans une salle où les derniers rayons du soleil illuminent une vue superbe sur la campagne et le golfe de Neapolis. Mais là n'est pas la particularité de la pièce. Sur ses parois rouge cinabre s'étend une fresque géante, un cycle insolite peuplé de personnages grandeur nature : satyres, matrones, jeunes femmes, esclaves, hommes, démones ailées, silènes, dieux jouent des scènes dont le sens échappe à Livia. _ C'est magnifique ! s'écrie-t-elle. De quel mythe s'agit-il ? _ Celui du roi du Vésuve, répond le philosophe. Bacchus, qu'on appelait jadis Dionysos, et de sa mère Sémélé. Ces tableaux narrent leur vie et leur divinisation. _ Cette peinture raconte-t-elle les fameux mystères dionysiaques ? _ Je le crois Livia. C'est un rituel d'initiation au culte dionysiaque qui est représenté devant nous. (p. 329) »
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Frédéric Lenoir
La parole perdue |
Frédéric Lenoir
La parole perdue
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« Puis un jour, j'ai compris que le moine sans tête était un spectre du passé, un bénédictin ayant vécu au XIè siècle, frère Roman, et qu'il avait besoin de moi. »
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Frédéric Lenoir
La parole perdue |
Frédéric Lenoir
La parole perdue
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« Avons-nous des preuves indiscutables que Socrate, Jésus et Bouddha aient bien existé en chair et en os ? La réponse est aussi abrupte que la question : non. . Mais s'ils étaient des mythes, comment expliquer que ceux qui ont transmis leur message aient été si imprégnés par leur personnalité, parfois au point de sacrifier leur vie, comme ce fut le cas de la plupart des apôtres de Jésus ? »
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Frédéric Lenoir
Socrate, Jésus, Bouddha : Trois maîtres de vie |
Frédéric Lenoir
Socrate, Jésus, Bouddha : Trois maîtres de vie
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