« En définitive, ce qui marque vraiment l'enfant est l'attitude de ses parents devant les revers de l'existence. L'humeur démissionnaire d'un parent entraîne souvent la même chose chez le petit garçon ou la petite fille. Lorsqu'ils seront devenus adultes, ils répondront aux épreuves de la vie par le défaitisme. Si au contraire les parents répondaient aux épreuves par un optimisme inébranlable, leur attitude a de bonne chance de copier celle des parents. ils aborderont les difficultés en disant : "Ce n'est pas la fin du monde ! Mes parents ont survécu, je survivrai à mon tour. Demain est un autre jour." »
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Guy Corneau
N'y a-t-il pas d'amour heureux ? : Comment les liens père-fille et mère-fils conditionnent nos amours |
Guy Corneau
N'y a-t-il pas d'amour heureux ? : Comment les liens père-fille et mère-fils conditionnent nos amours
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« Les dépendances apportent à la longue leur lot de souffrance et de déplaisir. La course effrénée au plaisir immédiat n'est pas garante de bonheur. Au mieux, elle amoindrit le malheur et permet de vivre dans un confort relatif. »
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Guy Corneau
Victime des autres, bourreau de soi-même |
Guy Corneau
Victime des autres, bourreau de soi-même
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« Nous ne sommes pas tous président de la république, mais nous avons tous quelque chose à apporter au monde, du moment que nous maintenons allumée la flamme de notre être. »
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Guy Corneau
(Source inconnue) |
Guy Corneau
(Source inconnue)
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