« La paresse est l'art de l'âme. Elle fabrique de la vie intérieure. Nous avons besoin de ne rien faire, de flâner, de badiner, de rêvasser, de suivre l'âme dans ses fantasmes et ses caprices, un peu à la manière d'un enfant qui suit la spontanéité de son jeu pour le simple plaisir de jouer sans même être effleuré par la pensée que ce jeu pourrait servir ) autre chose qu'à s'amuser. La santé se trouve ici. Ici renaît le goût de vivre pour le simple plaisir de vivre. Ici renaît la célébration de la vie. Ici renaît la spontanéité naturelle et facile. »
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Guy Corneau
La guérison du coeur |
Guy Corneau
La guérison du coeur
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« La maladie n'est pas diabolique en soi, même si elle nous hypnotise, nous paralyse, nous ensorcelle pour un temps. Elle manifeste la force de la vie qui, contrainte et ignorée, se rappelle à notre attention pour que notre vigilance change d'objet, pour que nous trouvions la force de redéfinir notre univers. On peut même considérer la maladie comme un symbole qui exprime la puissance du "vivant". »
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Guy Corneau
La guérison du coeur |
Guy Corneau
La guérison du coeur
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« En réalité, d'un point de vue thérapeutique, nous pouvons même dire que les difficultés, qu'il s'agisse d'épreuves psychologiques, d'accidents ou de maladies, collaborent à notre compréhension de nous-mêmes et du monde. Elles ne sont pas gratuites. Elles nous conduisent vers nous-mêmes. En les acceptant pleinement, nous leur donnons la chance de s'articuler en nous et de livrer leur précieux message. Sinon, elles ne feront que se répéter jusqu'à ce que nous ayons la sagesse de leur accorder une attention suffisante. »
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Guy Corneau
N'y a-t-il pas d'amour heureux ? : Comment les liens père-fille et mère-fils conditionnent nos amours |
Guy Corneau
N'y a-t-il pas d'amour heureux ? : Comment les liens père-fille et mère-fils conditionnent nos amours
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