« Au réveil d'un doux rêve, on voudrait se rendormir pour le continuer ; mais vainement on s'efforce d'en ressaisir les vagues traces, comme les plis de la robe d'une femme aimée disparaissant derrière une portière qu'on ne pourrait soulever. »
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Jules Renard
Journal 1887-1892 |
Jules Renard
Journal 1887-1892
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« Les fées nous échappent. Elles sont radieuses et on ne peut les saisir, et, ce qu'on ne peut pas avoir, on l'aime éternellement. »
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Jules Renard
Journal 1887-1892 |
Jules Renard
Journal 1887-1892
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« La politesse exige que deux personnes qui se croisent lèvent ensemble leurs parapluies et s'accrochent. »
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Jules Renard
Journal 1893 - 1898 |
Jules Renard
Journal 1893 - 1898
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