« Ils eurent la même idée. Ce fut elle qui se jeta sur lui, et le déshabilla. Cet homme se sentait si puissant, entre les griffes de cette femme lionne qu'il aimait. Ils étaient cet îlot de fortune au milieu du chaos, déconnectés de tout, abandonnés à ces instants parfaits, chimiquement purs, une complétude sensorielle qui ne demandait qu'à les étreindre, à évacuer d'eux toute forme de toxine. Et jamais ils ne s'étaient sentis aussi vivants. »
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Laurent Obertone
Guerilla, tome 2 : Le temps des barbares |
Laurent Obertone
Guerilla, tome 2 : Le temps des barbares
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« Dans le brouillard d'encens du salon, la vieille horloge s'obstinait à minuter le silence. »
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Laurent Obertone
Guerilla, tome 2 : Le temps des barbares |
Laurent Obertone
Guerilla, tome 2 : Le temps des barbares
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« Tout dans leur chambre évoquait la présence de cette grande absente. »
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Laurent Obertone
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