« Il se mit à rire, assez fort pour que la bougie s’éteigne. On se retrouva dans le noir. -D’accords, reprit-il, tandis que je passais les bras autour de son cou, tu n’as pas besoin de le dire à haute voix. Je sais pourquoi je te plais. Il m’enlaça et m’attira vers lui. -Dis-le-moi, alors. -C’est Animal, dit-il simplement. Parfaitement chimique. -Mmmm, possible. -De toute façon, ça n’a pas d’importance… Il glissa une main dans mes cheveux. Je ne pouvais pas distinguer son visage, mais sa voix, elle, résonna clairement à mon oreille. -La seule chose qui compte, c’est que je te plais. »
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Sarah Dessen
Cette chanson-là... |
Sarah Dessen
Cette chanson-là...
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« Elle m'a regardé au fond des yeux, s'assurant que je la comprenais bien. C'était le cas. -Alors n'aie pas peur. mets-toi à vivre. Seulement, je ne pouvais imaginer qu'on puisse vivre sans se préoccuper des dangers qui nous environnent. Surtout quand la plus grande peur qu'on puisse avoir s'était déjà réalisée. »
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Sarah Dessen
Pour toujours... jusqu'à demain |
Sarah Dessen
Pour toujours... jusqu'à demain
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« ◦« Je n’ai jamais compris l’intérêt des slows… Dans les danses normales, au moins, on n’est pas pris en otage, on n’est pas obligé de se balancer en rythme contre un parfait étranger qui, à cause de cette proximité soudaine, se sent le droit de vous toucher les fesses et tout ce qui se trouve à sa portée. Quelle foutaise. » P.88-89 »
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Sarah Dessen
Cette chanson-là... |
Sarah Dessen
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